Boozdormait auprĂšs des boisseaux pleins de blĂ©. Ce vieillard possĂ©dait des champs de blĂ©s et d’orge ; Il Ă©tait, quoique riche, Ă  la justice enclin ; Il n’avait pas de fange en l’eau de son moulin ; Il n’avait pas d’enfer dans le feu de sa forge. Sa barbe Ă©tait d’argent comme un ruisseau d’avril. Sa gerbe n’était point
Les femmes sont sur la terre Pour tout idĂ©aliser ; L’univers est un mystĂšre Que commente leur baiser. C’est l’amour qui, pour ceinture, A l’onde et le firmament, Et dont toute la nature, N’est, au fond, que l’ornement. Tout ce qui brille, offre Ă  l’ñme Son parfum ou sa couleur ; Si Dieu n’avait fait la femme, Il n’aurait pas fait la fleur. A quoi bon vos Ă©tincelles, Bleus saphirs, sans les yeux doux ? Les diamants, sans les belles, Ne sont plus que des cailloux ; Et, dans les charmilles vertes, Les roses dorment debout, Et sont des bouches ouvertes Pour ne rien dire du tout. Tout objet qui charme ou rĂȘve Tient des femmes sa clartĂ© ; La perle blanche, sans Eve, Sans toi, ma fiĂšre beautĂ©, Ressemblant, tout enlaidie, A mon amour qui te fuit, N’est plus que la maladie D’une bĂȘte dans la nuit. Paris, avril 18
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LestrĂ©sors de la Revue. Victor Hugo : « Guerre aux dĂ©molisseurs ». Une Note sur la destruction des monuments en France, signĂ©e du mĂȘme nom que les lignes qu’on va lire, a Ă©tĂ© derniĂšrement publiĂ©e, par hasard et avec d’innombrables fautes d’impression, dans

Les femmes sont sur la terrePour tout idĂ©aliser ;L'univers est un mystĂšreQue commente leur l'amour qui, pour ceinture,A l'onde et le firmament,Et dont toute la nature,N'est, au fond, que l' ce qui brille, offre Ă  l'ĂąmeSon parfum ou sa couleur ;Si Dieu n'avait fait la femme,Il n'aurait pas fait la quoi bon vos Ă©tincelles,Bleus saphirs, sans les yeux doux ?Les diamants, sans les belles,Ne sont plus que des cailloux ;Et, dans les charmilles vertes,Les roses dorment debout,Et sont des bouches ouvertesPour ne rien dire du objet qui charme ou rĂȘveTient des femmes sa clartĂ© ;La perle blanche, sans Eve,Sans toi, ma fiĂšre beautĂ©,Ressemblant, tout enlaidie,A mon amour qui te fuit,N'est plus que la maladieD'une bĂȘte dans la nuit.
VictorHugo (1802-1885) ecrivain francais, ici membre de l'Assemblee Legislative representant du peuble a l'Assemblee Nationale en 1849, gravure --- Victor Hugo (1802-1885) french writer, in 1849
Les femmes sont sur la terre Pour tout idĂ©aliser ; L'univers est un mystĂšre Que commente leur baiser. C'est l'amour qui, pour ceinture, A l'onde et le firmament, Et dont toute la nature, N'est, au fond, que l'ornement. Tout ce qui brille, offre Ă  l'Ăąme Son parfum ou sa couleur ; Si Dieu n'avait fait la femme, Il n'aurait pas fait la fleur. A quoi bon vos Ă©tincelles, Bleus saphirs, sans les yeux doux ? Les diamants, sans les belles, Ne sont plus que des cailloux ; Et, dans les charmilles vertes, Les roses dorment debout, Et sont des bouches ouvertes Pour ne rien dire du tout. Tout objet qui charme ou rĂȘve Tient des femmes sa clartĂ© ; La perle blanche, sans Eve, Sans toi, ma fiĂšre beautĂ©, Ressemblant, tout enlaidie, A mon amour qui te fuit, N'est plus que la maladie D'une bĂȘte dans la nuit. Paris, avril 18... Victor Hugo Femme Lieux
VictorHugo 3 0. Les femmes sont sur la terre. Pour tout idĂ©aliser ; L’univers est un mystĂšre. Que commente leur baiser. C’est l’amour qui, pour ceinture, A l’onde et le firmament, Et dont toute la Pour tout idĂ©aliser ;L’univers est un mystĂšreQue commente leur l’amour qui, pour ceinture,A l’onde et le firmament,Et dont toute la nature,N’est, au fond, que l’ ce qui brille, offre Ă  l’ñmeSon parfum ou sa couleur ;Si Dieu n’avait fait la femme,Il n’aurait pas fait la quoi bon vos Ă©tincelles,Bleus saphirs, sans les yeux doux ?Les diamants, sans les belles,Ne sont plus que des cailloux ;Et, dans les charmilles vertes,Les roses dorment debout,Et sont des bouches ouvertesPour ne rien dire du objet qui charme ou rĂȘveTient des femmes sa clartĂ© ;La perle blanche, sans Eve,Sans toi, ma fiĂšre beautĂ©,Ressemblant, tout enlaidie,A mon amour qui te fuit,N’est plus que la maladieD’une bĂȘte dans la Hugo Les Contemplations » Lesfemmes sont sur la terrePour tout idĂ©aliser ;L'univers est un mystĂšreQue commente leur baiser.https://www.pasmont.fr 5 aoĂ»t 2010 4 05 /08 /aoĂ»t /2010 0700 Le jeudi en poĂ©sie chez les "Croqueurs de mots" Victor Hugo 1802 - 1885 Les femmes sont sur la terre Pour tout idĂ©aliser; L'Univers est un mystĂšre Que commente leur baiser. C'est l'amour qui, pour ceinture, A l'onde et le firmament, Et dont toute la nature, N'est, au fond, que l'ornement. Tout ce qui brille, offre Ă  l'Ăąme Son parfum ou sa couleur, Si Dieu n'avait fait la femme, Il n'aurait pas fait la fleur. A quoi bon vos Ă©tincelles, Bleus saphirs, sans les yeux doux ? Les diamants, sans les belles, Ne sont plus que des cailloux; Et dans les charmilles vertes, Les roses dorment debout, Et sont des bouches ouvertes Pour ne dire rien du tout. Tout objet qui charme ou rĂȘve Tient des femmes sa clartĂ©; La perle blanche sans Eve, Sans toi, ma fiĂšre beautĂ©, Ressemblant, tout enlaidie, A mon amour qui te fuit, N'est plus que la maladie D'une bĂȘte dans la nuit. Recueil Les Contemplations. Mamie Claude - dans PoĂ©sies

Ilen fut de mĂȘme de l'ouvrage de François Poullain de La Barre, De l'Ă©galitĂ© des deux sexes (1673), texte pourtant lui aussi majeur et prĂ©curseur concernant l'Ă©galitĂ© entre femmes et hommes. De la mĂȘme façon, les nombreux plaidoyers de Victor Hugo en faveur de l'abolition de la peine de mort, que l'on pense au Dernier Jour d'un

XI Les femmes sont sur la terre Pour tout idĂ©aliser ; L’univers est un mystĂšre Que commente leur baiser. C’est l’amour qui pour ceinture A l’onde et le firmament, Et dont toute la nature, N’est, au fond, que l’ornement. Tout ce qui brille, offre Ă  l’ñme Son parfum ou sa couleur ; Si Dieu n’avait fait la femme, Il n’aurait pas fait la fleur. À quoi bon vos Ă©tincelles, Bleus saphirs, sans les yeux doux ? Les diamants, sans les belles, Ne sont plus que des cailloux ; Et, dans les charmilles vertes, Les roses dorment debout, Et sont des bouches ouvertes Pour ne rien dire du tout. Tout objet qui charme ou rĂȘve Tient des femmes sa clartĂ© ; La perle blanche, sans Ève, Sans toi, ma fiĂšre beautĂ©, Ressemblant, tout enlaidie, À mon amour qui te fuit, N’est plus que la maladie D’une bĂȘte dans la nuit. Paris, avril 18
 ABU: la BibliothĂšque Universelle 288 textes de 101 auteurs. (Janvier 2002) Les nouveautĂ©s.. Les textes Pour accĂ©der aux textes, consultez le catalogue des auteurs ou celui des textes. Vous pouvez Ă©galement faire des recherches de mots sur tout le corpus. Nous avons aussi plusieurs dictionnaires. Qui le fait ? Les femmes sont sur la terre Pour tout idĂ©aliser ; L’univers est un mystĂšre Que commente leur baiser. C’est l’amour qui, pour ceinture, A l’onde et le firmament, Et dont toute la nature, N’est, au fond, que l’ornement. Tout ce qui brille, offre Ă  l’ñme Son parfum ou sa couleur ; Si Dieu n’avait fait la femme, Il n’aurait pas fait la fleur. A quoi bon vos Ă©tincelles, Bleus saphirs, sans les yeux doux ? Les diamants, sans les belles, Ne sont plus que des cailloux ; Et, dans les charmilles vertes, Les roses dorment debout, Et sont des bouches ouvertes Pour ne rien dire du tout. Tout objet qui charme ou rĂȘve Tient des femmes sa clartĂ© ; La perle blanche, sans Eve, Sans toi, ma fiĂšre beautĂ©, Ressemblant, tout enlaidie, A mon amour qui te fuit, N’est plus que la maladie D’une bĂȘte dans la nuit. Victor Hugo RgS6O.
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